l’enregistrement des nouveaux venus auprès des chefs des quartiers ou des cellules
Au cours du deuxième thème, le facilitateur Maître Jérémie BAHATI a d’amblé établi un parallélisme entre la bonne gouvernance et la mauvaise gouvernance. Dans son exposé, il a fait allusion au revenu de moins de 1 dollar par jour et au taux élevé de corruption comme certaines des caractéristiques de la mauvaise gouvernance. Parlant de la bonne gouvernance, il a martelé qu’elle est celle qui fait référence à l’économie, au bien être des habitants et au respect des droits de l’homme. En vivant la bonne gouvernance, a-t-il ajouté, la population chasse la pauvreté et les conflits. Bref, pour qu’il y ait bonne gouvernance, le facilitateur a fait savoir qu’il faut intégrer tous ceux qui ont les compétences dans les différents services, il faut qu’il y ait un partage équitable des ressources, l’absence de la corruption, la création des emplois et la lutte contre l’impunité.
la mobilisation des jeunes pour un enrôlement massif dans le rang des forces armés et de la police, la désolidarisation des jeunes gens avec les groupes armés, la confiance aux autorités politico administratives, la prise en compte des alertes de la population, l’inexistence des conflits interpersonnels, la poursuite de l’ennemi jusqu’à son dernier retranchement, le respect des textes par les autorités, la justice équitable, le respect de l’article 49 de la constitution…
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